Pour ceux qui n'ont pas eu connaissance de l'article du 3 février, veuillez le lire avant. 

Ah pomponnette, te voilà, vilaine, coquine. Tu es partie sans penser à Pompon, le pauvre qui se morfondait dans son coin en attendant que tu reviennes. Mais non, tu as voulu vivre ta vie pour vivre sans lui pour  un toit qui n'est pas sans émoi lui. Les chats de gouttière étaient à ton goût, je suppose; mais le goût d'hier n'est plus que dégoût. As-tu pensé à pompon rentrant seul ? Tu t'en es lassé de ses lacets. Semelle après semelle, il t'a attendue mais vivre seul n'est pas une vie pour une basket. Lui qui voulait t'enlacer, a fini sa vie seul dans une poubelle, oublié de toi, pomponnette. Tu es revenue. Le mistral trop fort t'a fait redescendre du toit pour revenir parmi nous. Malheureuse, c'est trop tard. Pompon n'est plus. A tout tour de n'être qu'une basket orpheline d'un couple de baskets qui ne sera plus. De là où tu es, tu ne vois qu'un toit mais hélas, il ne reste plus que toi par ici.     

Ah pomponnette, te voilà ! (suite de l'article du 3 février)
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