Buren et déficience visuelle

Si les premières colonnes de Buren peintes dans l'école furent en l'honneur de l'artiste et de ses colonnes tant décriées dans la cour d'honneur du palais royal à Paris, les dernières colonnes n'ont pas la même fonction première. Si elles complètent la série, il a été recommandé de les finir pour permettre aux personnes déficientes visuellement de distinguer les colonnes. Ainsi, l'art complète le travail de la mise en accessibilité et les différences de tons pour éviter de trébucher ou de percuter. 

Monsieur Andrieu, l'âme vagabonde de l'école, assure la finition avec un petit groupe différent tous les mardis matins avec les élèves de monsieur Comte. 

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