Je pensais que le temps merveilleux qui sévit en Russie et en Laponie aurait séduit ces "satanées bêtes". Mais non, en plus de la pluie et du froid, elles osent séjourner sur nos têtes et personne n'y est épargné, excepté l'auteur du texte, pour des raisons de désert capillaire.

IL est urgent d'expulser, manu militari, ces profiteurs sanguins dont l'utilité est à démontrer. Oh Marie-Rose, si tu savais, tout le mal qu'on nous fait.

Sus au pou avant qu'il nous suce.

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